sources "soldats de l'Yonne 2ème partie"
[1] L’ouvrage canadien indique qu’il est né le 17 août 1718, alors que la date de naissance de l’enfant n’est aucunement précisée dans son acte de baptême [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 723].
[2] L’ouvrage canadien a conservé le nom erroné de Suréot, que j’avais pourtant corrigé en Suriot.
[3] N’ayant jamais servi en Amérique comme soldat, cet homme ne figure pas dans l’ouvrage canadien.
[4] L’ouvrage canadien a conservé les noms erronés de François Coudrant et de Golmée Coppin, que j’avais pourtant corrigés en François Condran et Edmée Coppin au vu des documents consultés aux Archives départementales de l’Yonne. Le prénom Golmée indûment conservé est tout à fait aberrant.
[5] L’ouvrage canadien indique qu’il est né le 20 novembre 1721, alors que sa date de naissance n’est aucunement précisée dans son acte de baptême [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 775].
[6] L’ouvrage canadien indique qu’il est né le 12 novembre 1714, alors que sa date de naissance n’est aucunement précisée dans son acte de baptême [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 521].
[7] L’ouvrage canadien indique par erreur qu’il est né au château de Grésigny à Beauvilliers, alors que j’avais précisé que son acte de baptême ne figure pas dans les registres de Saint-Léger-Vauban (où tous les actes de baptême, mariage et sépulture des habitants de Beauvilliers étaient consignés). La date de naissance est mentionnée dans les papiers conservés aux Archives militaires à Vincennes.
[8] L’ouvrage canadien indique par erreur que le mariage a été célébré en la même église dijonnaise le 15 février 1766, au lieu du 16 décembre 1766 [Archives de Côte-d’Or, microfilm 5 Mi 9 R 74].
[9] L’ouvrage canadien lui attribue les deux prénoms de Jacques Lazare, alors qu’à son baptême il n’a reçu en fait que le prénom unique de Jacques [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 779].
[10] L’ouvrage canadien indique qu’il serait né en la paroisse Notre-Dame à Villeneuve-sur-Yonne, alors que j’avais précisé que son acte de baptême ne figure point dans les registres de Villeneuve. La date de naissance est mentionnée dans les documents conservés aux Archives militaires, à Vincennes.
[11] L’ouvrage canadien indique qu’il est né en la paroisse Saint-Etienne, à Vézelay, alors qu’il avait vu le jour en la paroisse Saint-Pierre, dans la même ville [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 1016].
[12] L’ouvrage canadien indique par erreur qu’il est né le 14 février 1732, alors que j’avais précisé qu’il avait vu le jour en fait dix jours plus tôt, le 4 février 1732 [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 779].
[13] L’ouvrage canadien indique par erreur qu’il est né à Soyers en Haute-Marne, alors que j’avais bien précisé qu’il avait été baptisé en fait à Stigny dans l’Yonne [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 907].
[14] L’ouvrage canadien indique que sa mère s’appelait Marie Vil…ot, alors que j’avais pourtant précisé dans mon rapport qu’elle se nommait Marie Anne Véluot [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 907].
[15] Il est devenu ainsi Edmé Roch Lenoir. Dans l’ouvrage canadien, il apparaît sous les deux prénoms d’Aimé Roch car, en dehors de l’Yonne, le prénom icaunais Edmé était souvent confondu avec Aimé.
[16] Ce soldat de l’armée de Montcalm ne figure pas dans l’ouvrage canadien.
[17] Dans l’ouvrage canadien, il apparaît sous le nom de Pétillaud. On ne rencontre jamais cette forme graphique dans les registres paroissiaux de Saint-Germain-des-Champs, où Pétillot est la norme.
[18] L’ouvrage canadien indique par erreur que son père, Pierre Germain Robinet, était lui aussi connu sous le nom de Robinet de Fontenette. En fait, le lieutenant François Robinet de Fontenette, figurant sous les prénoms de François Pierre dans l’ouvrage canadien, a été le tout premier homme, dans sa famille, à ajouter le nom patrimonial de Fontenette après son nom patronymique de Robinet.
[19] L’ouvrage canadien indique par erreur que le mariage a été célébré à Paris le 20 octobre 1771, en l’église Saint-Eustache, alors que j’avais précisé que le 28 octobre 1771 le futur marié n’avait obtenu qu’un congé de mariage à Auxerre, en l’église Saint-Mamert [Archives d’Auxerre, registre GG 77]. Le mariage effectif à Paris n’a donc pas pu avoir lieu avant novembre 1771.
[20] L’ouvrage canadien, où Gabriel Roubeau apparaît sous le nom de Roubault, manque de prudence en affirmant que les parents dudit Gabriel étaient bien Jean Roubault et Jeanne Chateau.
[21] L’ouvrage canadien indique, par erreur, que la mère de Godefroy Rousseau se prénommait Anne, alors que j’avais précisé que son prénom était en fait Marie [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 271].
[22] L’ouvrage canadien indique par erreur qu’il est décédé à Avallon, alors que j’avais précisé que son acte d’inhumation ne figure pas dans les registres paroissiaux de cette ville.
[23] Dans l’ouvrage canadien, il n’apparaît que sous le prénom unique d’Augustin, alors qu’il avait reçu les deux prénoms d’Edmé Augustin à son baptême [Archives de l'Yonne, microfilm 5 Mi 479].
[24] L’ouvrage canadien n’indique pas que Pierre André Vaudoux a servi dans le régiment de Guyenne avant de passer, en 1758, au régiment d’infanterie de Berry, dans une compagnie non spécifiée.
[25] Cet homme, dont je devais retrouver les racines, ne figure pas dans l’ouvrage canadien.
[26] L’ouvrage canadien indique qu’il est mort en France, sans préciser si le lieu de son décès se situe en métropole ou sur l’île antillaise de la Guadeloupe.
[27] L’ouvrage canadien a repris cette suggestion, sans en vérifier la véracité.
[28] L’ouvrage canadien dit que le lieu de naissance d’Etienne Pouget est Pers-en-Gâtinais (Loiret).
[29] L’ouvrage canadien a repris cette suggestion, sans en vérifier la véracité.
[30] Il figure dans l’ouvrage canadien sous le prénom d’Aimé, forme sous laquelle le prénom icaunais Edmé était souvent transcrit en dehors de l’Yonne.
[31] L’ouvrage canadien indique qu’il s’appelait en fait Etienne Roy et qu’il était fils de Pierre Roy et de Marie Erony.